L’entente a été acceptée par 78% des votants. Elle encadre pour la
   première fois l’utilisation de l’intelligence artificielle dans
   l’industrie du cinéma et prévoit des primes pour les comédiens dont les
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   accord valant un milliard de dollars qui comporte de nombreuses
   avancées très importantes dans des domaines tels que l’IA, les minima,
   l’argent du streaming, a dit Duncan Crabtree-Ireland, le négociateur en
   chef du SAG-AFTRA. C’est un accord dont je suis très fier.»
   Lire aussi: A Hollywood, les acteurs butent sur l'IA et refusent la
   «dernière» offre des studios
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L’encadrement de l’IA, une première

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   l’industrie quelque peu nerveuse, certains termes du contrat suscitant
   l’opposition nette d’acteurs, notamment sur l’IA. «Le contrat est
   merdique», estimait ainsi avant le vote Michael Vaccaro, qui compte
   parmi les dizaines d’acteurs engagés publiquement contre la
   ratification. «J’ai voté contre. Et je suis tout à fait prêt à
   reprendre la grève. Absolument, à 100%», assurait le comédien à l’AFP.
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   L’accord entend instaurer des garde-fous contre l’utilisation de
   l’intelligence artificielle (IA), une première. Les interprètes
   craignent d’être bientôt remplacés par des «acteurs» entièrement
   numériques, générés par l’intelligence artificielle en assemblant des
   parties de corps de nombreux humains différents à partir d’archives
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   Le contrat n’empêche pas les studios d’utiliser l’IA, mais il contient
   une clause les obligeant à informer le syndicat chaque fois que cette
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   Intelligence artificielle Cinéma Etats-Unis
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